Mes pleurs sont à moi, nul au monde
Ne les a comptés ni reçus,
Pas un oeil étranger qui sonde
Les désespoirs que j’ai conçus
L’être qui souffre est un mystère
Parmi ses frères ici-bas ;
Il faut qu’il aille solitaire
S’asseoir aux portes du trépas.
J’irai seule et brisant ma lyre,
Souffrant mes maux sans les chanter ;
Car je sentirais à les dire
Plus de douleur qu’à les porter
Commentaires
Bonjour,
Joli blog avec de la tendresse.
bonne journée
ma ptite femme d'amour (l)
my always (l)
ma vie (l)
je ne peux pas vivre sans toi
mon amour (l)
dans tes bras je suis entrainé
par tes paroles d'amour (l)
je veux qu'on nous laisse tranquile
pour discuter de nos lendemains ensoleillé
pour te dire je t'aime (l) à l'infini
je t'aimeeeeeeeeeeee (l) my always love d'amour (l)
Mes pleurs sont à moi, nul au monde
Ne les a comptés ni reçus,
Pas un oeil étranger qui sonde
Les désespoirs que j’ai conçus
L’être qui souffre est un mystère
Parmi ses frères ici-bas ;
Il faut qu’il aille solitaire
S’asseoir aux portes du trépas.
J’irai seule et brisant ma lyre,
Souffrant mes maux sans les chanter ;
Car je sentirais à les dire
Plus de douleur qu’à les porter